Du nouveau sur la plateforme Imagerie !
La plateforme imagerie est heureuse d’annoncer l’arrivée de son nouveau microscope confocal Zeiss LSM 900 Airyscan 2 en remplacement du LSM510 meta. Le LSM 900 sera opérationnel à partir du 22 juin.
Le confocal Zeiss LSM 900 fait partie de la dernière famille de confocal Zeiss. La grande variété d’objectifs (longue distance de travail ou grande ouverture numérique) de 20x à 40x couplée à la platine motorisée, les nouveaux capteurs (GaAsP), les systèmes de contrôle thermostatique et d’incubation au CO2 font de cet instrument un outil très polyvalent. Les diodes LASER de 405, 488, 561 et 640 nm couvrent un large spectre de molécules fluorescentes utilisées en biologie.
Avec le plus faible grandissement (objectif 20x), il est possible d’effectuer une reconstruction de petits tissus en 3D, ou de suivre la dynamique de cellules vivantes. Ces techniques tireront parti du rapport signal/bruit (SNR) plus élevé offert par les nouveaux capteurs GaAsP, et de la platine motorisée pour effectuer un suivi en plusieurs positions ou pour réaliser des images mosaïques sur une plus grande surface. Par exemple, il est possible d’identifier des cellules marquées dans les tissus et d’analyser leur distribution, ou de suivre la migration des cellules dans divers environnements. Le mode multiplex du capteur Airyscan 2 permet de scanner plus rapidement tout en conservant la résolution confocal. Ce mode multiplex diminue le temps d’acquisition des échantillons.
À un grandissement plus élevé (à partir de l’objectif x40), il est possible de tirer parti du capteur Airyscan 2, pour suivre des particules dans les cellules vivantes ou pour réaliser une imagerie à super-résolution et une analyse très précise dans un échantillon tissulaire ou cellulaire. L’imagerie de vésicules fluorescentes dans la cellule avec le mode multiplex du capteur Airyscan 2 permet de scanner plus rapidement et d’obtenir une meilleure résolution spatio-temporelle. La possibilité de super-résolution de l’Airyscan 2 permet l’étude d’événements fluorescents de plus faibles intensités qu’auparavant et à une meilleure résolution. Cette technologie permet de mieux comprendre la distribution spatiale des particules fluorescentes marquées, d’étudier avec une grande précision la localisation sub-cellulaire de différentes protéines et d’étudier leurs colocalisations à une résolution sub-optique.
Si vous souhaitez l’utiliser ou tout simplement avoir plus de précisions sur les possibilités techniques, n’hésitez pas à vous rapprocher de Xavier Decrouy (xavier.decrouy@inserm.fr).